McGill de retour à la Maison symphonique

L’Orchestre symphonique de McGill se produira à la Maison symphonique le vendredi 27 février prochain, dans le cadre du festival Montréal/Nouvelles Musiques et du festival Montréal en lumière. L’Orchestre y présentera la Turangalîla-Symphonie du compositeur français Olivier Messiaen, créée en 1949, « l’une des plus importantes œuvres pour grand orchestre du 20e siècle », selon le chef Alexis Hauser.
L’Orchestre symphonique de McGill. / Photo: Owen Egan
L’Orchestre symphonique de McGill. / Photo: Owen Egan

L’Orchestre symphonique de McGill se produira à la Maison symphonique le vendredi 27 février prochain, dans le cadre du festival Montréal/Nouvelles Musiques et du festival Montréal en lumière.

L’Orchestre y présentera la Turangalîla-Symphonie du compositeur français Olivier Messiaen, créée en 1949. Le chef Alexis Hauser qualifie la Turangalîla-Symphonie « d’une des plus importantes œuvres pour grand orchestre du 20e siècle », qui comprend une variété stylistique « extraordinaire » aux influences asiatiques, européennes et américaines (dont celle de Gershwin).

La Turangalîla-Symphonie a été conçue pour une variété inusitée d’instruments à clavier et à percussion, dont le piano et les ondes Martenot, clavier à oscillateur électronique monodique inventé par Maurice Martenot en 1920. L’expression « turangalîla » est née de l’union de deux mots sanskrits, turanga, qui signifie l’écoulement du temps, le mouvement ou le rythme, et lîla, qui désigne l’amour cosmique qui transcende les actes de création, de destruction et de reconstruction, représentant la vie et la mort. Le compositeur voyait en son œuvre « un cantique à l’amour, un hymne à la joie. »

L’œuvre comporte dix mouvements et dure environ 80 minutes.

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