Santé et bien-être – un programme qui fait le poids

L’aventure qui allait me ramener à mon poids santé a commencé en octobre 2010 au Salon de la santé des employés de McGill, organisé par Sharron Smith des Ressources humaines. J’y ai recueilli de nombreux renseignements auprès des différents groupes présents, mais ma conversation avec le représentant de Weight Watchers a été déterminante. J’ai entrepris le programme Weight Watchers dès le lendemain, et depuis j’ai perdu plus de 20 kilos. Lire la suite »
Hélène Fyfe
Les avantages de la perte de poids sont beaucoup plus nombreux que ce que l’on peut imaginer. Mon attitude générale s’est beaucoup améliorée au fur et à mesure des kilos perdus.

L’aventure qui allait me ramener à mon poids santé a commencé en octobre 2010 au Salon de la santé des employés de McGill, organisé par Sharron Smith des Ressources humaines. J’y ai recueilli de nombreux renseignements auprès des différents groupes présents, mais ma conversation avec le représentant de Weight Watchers a été déterminante. J’ai entrepris le programme Weight Watchers dès le lendemain, et depuis j’ai perdu plus de 20 kilos. Je ne me suis pas si bien sentie depuis dix ans, je fais régulièrement de l’exercice et je me maintiens dans l’intervalle de mon poids santé.

Lors d’une telle entreprise, il est important de bénéficier du bon soutien. Ce sont mes deux fils Alex et Thomas qui me l’ont offert. Je ne pense pas que j’aurais réussi sans eux. Thomas, qui n’a que 12 ans, a lui aussi commencé le programme et il a perdu plus de 9 kilos. L’intérêt d’Alex pour la nourriture l’a amené à participer à la préparation de tous les repas. J’aimais particulièrement les tapes dans les mains qu’ils me donnaient en guise de félicitations à chaque objectif atteint. Mon fils et moi faisons de l’exercice ensemble et continuons de nous encourager.

J’ai aussi reçu beaucoup d’encouragement de mes collègues et de mes amis. Après tout, McGill est une famille et en famille, on se sert les coudes. Je suis également très heureuse de souligner que ma perte de poids a incité une personne qui m’est chère à faire de même, et je suis très fière d’elle. Nous avons en effet la chance de profiter d’une variété d’excellents programmes offerts par l’Université.

Le programme de santé et de bien-être et le programme de conditionnement physique sont d’excellents exemples d’amélioration de la qualité de vie pour le personnel de McGill. Le « défi santé 5/30 » m’a également aidé à prendre conscience de l’importance de bien gérer son stress et de dormir suffisamment. J’ai aussi profité de divers séminaires offerts par les Ressources humaines et la Faculté de médecine; j’ai particulièrement apprécié celui de notre cher docteur Joe Schwarcz. Finalement, je suis devenue dépendante des cours de conditionnement physique comme le cardiovélo, qui m’ont aussi donné l’occasion de reprendre contact avec d’anciens collègues des Ressources humaines et de dépenser de l’énergie avec eux!

Les avantages de la perte de poids sont beaucoup plus nombreux que ce que l’on peut imaginer. Mon attitude générale s’est beaucoup améliorée au fur et à mesure des kilos perdus. Les problèmes semblent moins accablants et plus faciles à gérer. C’est incroyable de prendre conscience à quel point notre bien-être général est lié à notre bien-être physique.

La perte de poids a eu de grosses répercussions (jeu de mots intentionnel) sur mon attitude et mon rendement. Je me sens dynamique, positive et plus productive. Je cours maintenant 7 km régulièrement. J’aimerais éventuellement courir 10 km, et peut-être un demi-marathon dans un avenir prochain. Le programme de santé et de bien-être était exactement ce dont j’avais besoin pour m’y mettre et le programme de conditionnement physique du personnel me donne la force de continuer.

Les jours plus difficiles, les maximes de sagesse de mon mentor Weight Watchers résonnent dans ma tête : « On ne peut pas échouer à la perte de poids, on ne peut qu’arrêter d’essayer », « Une rechute n’est pas forcément un échec », et ma préférée, « Si le problème n’est pas lié à la faim, manger ne résoudra rien ».

Hélène Fyfe

Chef, administration

Pavillon Duff (médecine) Départment de pathologie